Une lecture du tableau
"La «Lumière» qui vient de par-delà les limites du tableau, de l’Éternel donc, du «Père des lumières” (Jc 1,17) justement, illumine le visage de Matthieu en passant à travers la Main du Fils qui appelle. L’homme bien en chair et par surcroît assis à la table des pécheurs qu’est Matthieu n’est pas anéanti, terrassé par celle «Lumière» venue du «divinum». Il y fait face ; il la supporte. On dirait même qu’il la re-connaît.”
R. Tremblay, “Jésus le Christ vraie lumière qui éclaire tout homme. Réflexions sur l’Encyclique de Jean-Paul II Veritatis Splendor”, dans Studia Moralia 31 (1993), 383–390. |